J’ai eu l’occasion il y a 2 bonnes années d’échanger avec un coach sur les vertus de la procrastination sur le travail et l’impact que celle-ci pouvait avoir sur le processus créatif. Alors vous me direz dans une société réglée comme du papier à musique, « Dionysos » n’a pas sa place. On doit être performant. Et si la procrastination qu’elle soit consciente ou inconsciente était un mécanisme de protection pour certains individus ? E si la procrastination était une forme de « corporate hacking passif », une étape nécessaire avant de passer à la phase active pour certains ou tout simplement la forme la plus répandue ? Je me pose la question. Notamment quand je lis ,ça et là, les divers tribunes sur l’engagement au travail. Le taux d’engagement moyen mondial est de 65% selon une étude de Aon Lewitt pour 2016. Il y a certainement des variations entre les tranches d’âges, et les catégories socio-professionnelles.
Le corporate procrastin-hacking
25 juillet 2016